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et rencontré M.François Bon, chargé du patrimoine au conseil départemental de Vendée, et l’avons alerté sur la disparition imminente du patrimoine culturel de Sion. En effet, si les 18 maisons restantes sur l’îlot Jeanne d’Arc disparaissent – dont celles occupées actuellement par l’association « La Livarde »- c’est la mort du patrimoine balnéaire de Sion ! M. le Maire (que nous avons rencontré à ce propos) n’a aucun local à nous proposer à Sion pour continuer à rendre accessible à l’année le patrimoine balnéaire détenu à « La Livarde ».
Ne lâchons pas la défense du patrimoine de Sion
Plus qu’un message, c’est un cri d’alerte que nous vous adressons !
Après une saison 2015 riche en démarches et visites guidées animées à Sion (26 avril, 17 juillet et 2 journées du patrimoine en septembre), le Collectif a continué ses efforts pour la protection du patrimoine balnéaire de Sion.
Nous avons écrit :


et rencontré M.François Bon, chargé du patrimoine au conseil départemental de Vendée, et l’avons alerté sur la disparition imminente du patrimoine culturel de Sion. En effet, si les 18 maisons restantes sur l’îlot Jeanne d’Arc disparaissent – dont celles occupées actuellement par l’association « La Livarde »- c’est la mort du patrimoine balnéaire de Sion ! M. le Maire (que nous avons rencontré à ce propos) n’a aucun local à nous proposer à Sion pour continuer à rendre accessible à l’année le patrimoine balnéaire détenu à « La Livarde ».
Pourquoi ne pas sauvegarder au moins les trois villas « La Clarté » (ancienne bibliothèque de la ville), « Elizabeth » et « Ker Emile » qui bordent l’îlot et qui ont, d’après le délégué technique de la Fondation du Patrimoine, que nous avons rencontré également, une valeur patrimoniale locale incontestable ? La Fondation serait favorable à leur restauration et l’appuierait d’une souscription publique.
N’avons-nous pas un devoir de mémoire pour toutes les générations de familles qui reviennent régulièrement en vacances ici à Sion, pour tous ceux qui s’y sont installés à la retraite et pour tous les natifs qui se souviennent de la vie balnéaire depuis 1920 ?
En attendant le dénouement de cette affaire, n’est-il pas important de sécuriser l’îlot Jeanne d’Arc, de retirer ces volets qui pendent et mettre des plaques de bois sur les fenêtres ou portes aux vitres cassées ? C’est ce que le Collectif a demandé à la Municipalité le 6 novembre dernier. L’acceptation n’a pas été suivie d’effet à ce jour malgré nos relances. Pourquoi ?
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